Le député justifie cette initiative par la nécessité de protéger la société, notamment les enfants, face aux risques liés à la prolifération de ce type de contenus, dont certains servent de couverture à des crimes comme l’exploitation sexuelle et la traite humaine.
Le projet de loi prévoit des sanctions sévères : jusqu’à un an de prison, des amendes pouvant atteindre un million de dinars, ainsi qu’une suspension ou un retrait de licence pour les entreprises qui facilitent l’accès à ces contenus. Les fournisseurs d’accès à internet auront l’obligation technique de mettre en œuvre le blocage.
L’objectif principal annoncé est de protéger les publics vulnérables tout en préservant les valeurs sociales et éthiques du pays.










































