« Au deuxième trimestre 2011, si nous n’avons pas résolu cette affaire, je pense que nous serons déjà dans une procédure d’arbitrage », a-t-il déclaré au cours d’une conférence de presse. Selon lui, le groupe égyptien qui a cédé récemment la majorité de ses actions à l’opérateur russo-norvégien Vimpelcom ne pourra patienter plus longtemps étant donné que la réussite de la fusion de la maison mère d’OTH, Weather investments, avec le groupe russe Vimpelcom est directement liée avec la vente de Djezzy.
En effet, le gouvernement algérien ne veut pas racheter la filiale algérienne du groupe égyptien de téléphonie au prix fixé par ce dernier soit à 7,8 milliards de dollars. Il a même lancé un appel d’offres pour engager une banque d’affaires, qui sera chargée d’évaluer la valeur de Djezzy. « Cette fusion n’a que 50% de chance d’aboutir », a-t-il estimé.