C’est dans cette optique que Nokia procédera au cours des deux prochaines années à la suppression de près de 500 postes en France. Dans un communiqué publié et repris par l’AFP, Nokia affirme que les activités recherche et développement en France ne seront cependant pas touchées. Aussi, les trois filiales françaises, Nokia Bell Labs France, Alcatel Submarine Networks (ASN) et Radio Frequency Systems (RFS), ne seront pas touchées. Selon le groupe HMD Global, c’est la filiale Alcatel Lucent qui est concernée par les suppressions d’effectifs.
Rappelons que l’équipementier télécom finlandais avait annoncé, en octobre, un nouveau plan mondial d’économie de 700 millions d’euros d’ici 2020.
Durant l’exercice 2017, Nokia a enregistré une perte nette de 1,49 milliard d’euros. Pour rattraper ce déficit, Nokia mise beaucoup sur le prochain développement de la 5G, où il est engagé dans une compétition mondiale, notamment avec le suédois Ericsson, le chinois Huawei ou le coréen Samsung.
C’est dans cette optique que Nokia procédera au cours des deux prochaines années à la suppression de près de 500 postes en France. Dans un communiqué publié et repris par l’AFP, Nokia affirme que les activités recherche et développement en France ne seront cependant pas touchées. Aussi, les trois filiales françaises, Nokia Bell Labs France, Alcatel Submarine Networks (ASN) et Radio Frequency Systems (RFS), ne seront pas touchées. Selon le groupe HMD Global, c’est la filiale Alcatel Lucent qui est concernée par les suppressions d’effectifs.
Rappelons que l’équipementier télécom finlandais avait annoncé, en octobre, un nouveau plan mondial d’économie de 700 millions d’euros d’ici 2020.
Durant l’exercice 2017, Nokia a enregistré une perte nette de 1,49 milliard d’euros. Pour rattraper ce déficit, Nokia mise beaucoup sur le prochain développement de la 5G, où il est engagé dans une compétition mondiale, notamment avec le suédois Ericsson, le chinois Huawei ou le coréen Samsung.
