Dans son communiqué, l’ARPCE alerte sur les risques majeurs encourus par les utilisateurs de terminaux non conformes, qui n’ont pas été soumis aux tests techniques nécessaires ni validés par l’autorité compétente.
Parmi les dangers signalés, figure le risque de coupure de communication lors de situations critiques et l’impossibilité d’accéder aux numéros d’urgence, tels que la police, la protection civile ou les services de secours. Ces appareils peuvent en effet présenter des problèmes de compatibilité avec les réseaux nationaux des opérateurs, compromettant l’accès à certains services essentiels.
L’ARPCE évoque également une dégradation de la qualité des communications, ainsi que des risques pour la santé : les téléphones non homologués peuvent émettre des rayonnements supérieurs aux seuils autorisés, exposant ainsi les utilisateurs à des niveaux potentiellement dangereux.
Afin d’éviter ces désagréments, l’autorité recommande vivement aux consommateurs de vérifier la présence de l’étiquette “Approuvé par l’ARPCE”, accompagnée du numéro d’homologation de l’appareil, avant tout achat.
Selon l’ARPCE, cette étiquette constitue une garantie officielle attestant que le terminal a passé avec succès les tests de conformité et qu’il répond aux standards de qualité, de sécurité et de performance exigés.
Par cette mise en garde, l’autorité réaffirme son engagement à protéger les utilisateurs et à assurer la fiabilité du parc de terminaux connectés au sein du marché algérien, tout en appelant à la vigilance face à la prolifération d’appareils non certifiés, souvent vendus sans contrôle ni garantie dans les circuits informels.









































