Au total, 400 puces ont été saisies et des mesures ont été prises de suite afin d’identifier les puces d’ores et déjà vendues sans pièces d’identification. Selon un communiqué de la GN, les suspects vendaient des puces sans documents d’identification à travers la publication d’annonces sur un des réseaux sociaux.
Ils ont été arrêtés après identification du premier individu impliqué dans l’affaire à Hussein Dey. Après audition de l’accusé, il s’est avéré qu’un employé travaillant chez un opérateur de téléphonie mobile procurait et vendait illégalement les puces à des jeunes contre un montant de 100 DA mais sans documents d’identification. Ces puces pourraient être utilisées dans des actes criminels d’autant plus qu’elles étaient destinées à être vendues à Ghardaïa, poursuit le communiqué.