Selon elle, la meilleure des réactions à avoir dans ces cas (piratage des ordinateurs) est la précaution et d’éviter de transmettre des informations importantes sur des circuits qui ne sont pas sécurisés. S’exprimant aux journalistes en marge d’un atelier régional pour l’Afrique du Nord sur le « e-gouvernement », Mme Derdouri a précisé également que « cette situation incite à réfléchir à des solutions permanentes pour sécuriser les données particulièrement celles importantes pour un pays ». « L’action que nous avons prise au niveau du ministère est une action indépendante de ce qui se passe au niveau international et elle est des plus logiques lorsqu’un système n’est pas entièrement sécurise, car nous ne voulons pas prendre de risques », a-t-elle expliqué.
Dans le même sillage, Mme Derdouri a souligné que son secteur a demandé à sécuriser d’abord le système informatique et à prendre ensuite des mesures nécessaires à l’utilisation de tous les moyens modernes des TIC. « Cette décision a été prise parce que l’Algérie n’est pas isolée du monde et nous pensons que la meilleure des réactions est d’éviter de transmettre des informations importantes sur des circuits qui ne sont pas sécurisés et réfléchir à des solutions permanentes pour sécuriser les données particulièrement celles importantes pour un pays », a-t-elle poursuivi.