« A peine sortie d’un violent conflit armé, l’Algérie a été parmi les premiers pays en voie de développement à avoir procédé à la modernisation de ses réseaux de télécommunications par l’introduction de la commutation numérique, de la fibre optique et des télécommunications spatiales », lit-on dans un communiqué parvenu à notre rédaction. Le patron d’AT a regretté la décennie noire qui a, a-t-il dit, brisé l’élan de développement, ce qui a provoqué un retard pénalisant compte tenu de la demande sans cesse croissante justifiée par le rôle de plus en plus important que jouent les TIC dans le développement des sociétés.
C’est pour cette raison qu’Algérie Télécom se trouve investie d’une lourde responsabilité tant dans le développement économique et social de notre pays que dans sa mission de créer des richesses », a-t-il précisé. C’est ainsi, qu’il appelle les travailleurs du groupe Algérie Télécom de faire les efforts nécessaires afin de rattraper le retard constaté et faire d’Algérie Télécom le catalyseur qui déclenchera la réaction en chaîne du développement économique et social de notre pays. « Il est vrai que nous avons accusé un retard, mais je suis profondément convaincu que nous pouvons le rattraper », a-t-il affirmé dans ce cadre.
