Selon le même responsable, il semblerait que le principal obstacle reste la prise de contrôle de la filiale algérienne d’Orascom, Djezzy, que Vimpelcom souhaite conserver car il s’agit de l’actif le plus lucratif de l’opérateur égyptien mais sa nationalisation est envisagée par le gouvernement algérien.
« Nous considérons cet accord comme une somme de différentes conditions – sera-t-il approuvé ou ne le sera-t-il pas. Un grand nombre de questions doivent être résolues avant de pouvoir parler d’accord conclu », a déclaré le directeur général de Telenor, Jon Fredrik Baksaas dans une interview au quotidien Vedomosti publiée mercredi.
Des observateurs ont considéré que la déclaration du patron de Telenor est importante dans la mesure où son entité détient 36% des droits de vote de Vimpelcom.