Déjà en janvier dernier, Sony Ericsson avait supprimé pas moins de 5000 emplois. Dans le cas où Ericsson se retire définitivement de la coentreprise, Sony prendra seul le contrôle de la firme. Par ailleurs, il sera difficile pour Ericsson de trouver un autre acquéreur, selon David Gibson, un analyste du cabinet américain Macquarie Securities.
D’un autre coté, David Gibson estime que si un rachat de Sony Ericsson se produit, il serait bénéfique à Sony sur le long terme mais irait probablement à l’inverse de la stratégie de rationalisation de Sony dans le reste de ses activités.