Dans une allocution prononcée à cette occasion, M. Rebiga a mis en avant l’importance de ce concours, institué en vertu du décret présidentiel n 96-240, dans la préservation de la mémoire nationale et de l’histoire de la guerre de libération pour les générations futures, rappelant les divers thèmes du Concours, axés notamment sur l’audiovisuel, la recherche en histoire et la promotion des œuvres créatives et littéraires.
Ce concours, poursuit-il, « s’inscrit dans le cadre du plan d’action du gouvernement et du programme du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, qui s’emploie à préserver la mémoire nationale et à écrire l’histoire, depuis la résistance jusqu’à l’indépendance en passant par le mouvement national, mais également à réaliser la relance économique, sociale et culturelle ».
Il a cité, dans ce cadre, le film intitulé « El Sakia », produit par la tutelle, dont le premier coup de manivelle a été donné mercredi dernier par le ministère des Moudjahidine et des Ayants-droit en compagnie du ministre tunisien de l’Intérieur et des Collectivités locales, à l’occasion du 65e anniversaire de la commémoration des massacres de Sakiet Sidi Youcef.
Le secteur des Moudjahidine poursuivra ses efforts visant à produire 15 œuvres audiovisuelles en vue d’ancrer les valeurs de la Révolution du 1 novembre chez les générations montantes, a souligné M. Rebiga, appelant les jeunes à servir et à être loyal envers le pays.
Le ministre a exprimé ses remerciements « au ministère de la Poste et des Télécommunications qui a contribué à l’organisation de cette cérémonie et a réuni toutes les conditions pour sa réussite à travers l’entreprise Algérie Télécom ».