Le conseiller au ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche scientifique, Abdeldjabar Daoudi, a dévoilé de nouvelles avancées scientifiques majeures en Algérie, qui est le développement d’une puce biométrique par le centre de recherche en biotechnologie à Constantine destinée à des expériences sur la détection du cancer.
Jusqu’ici, les puces du même genre étaient importées, avec un tarif avoisinant 500 euros l’unité, et financées par le trésor public. Des recherches dans ce domaine est devenue une priorité pour réduire considérablement les factures d’importation.
Dans cet optique, les firmes biotechnologiques algériennes se placent « en tête en Afrique pour la production de cette puce, sur les 90 laboratoires mondiaux maîtrisant cette technologie liée à la recherche médicale » a déclaré l’intervenant. La puce biométrique promet d’améliore les méthodes de détection du cancer.