Instaurée depuis 2016 pour lutter contre les fuites de sujets et la tricherie en ligne, cette mesure avait suscité de nombreuses critiques en raison de ses impacts négatifs sur l’économie et la vie quotidienne.
Cette année, les autorités ont opté pour une approche différente : pas de coupure, mais un renforcement des mesures de sécurité, de la surveillance dans les centres d’examen et des sanctions contre la fraude. Les réseaux sociaux ont également été étroitement surveillés.
Cette décision, largement saluée, marque une volonté de moderniser la gestion des examens tout en maintenant leur intégrité, sans pénaliser les citoyens connectés.