Google devra, donc, supprimer plus d’une centaine de liens de son moteur de recherche. En tapant le nom du requérant dans le moteur de recherche Google, plus de 237 liens vers des pages internet apparaissent et entretiennent la confusion autour de son implication dans un crime.
Selon le plaignant, le fait que son nom soit assimilé à ces pages internet constitue une menace à son mode de vie actuel et compromet sa vie privée, rapporte le journal nippon Asahi Shimbun.