Il s’agit, a-t-il dit, d’Organisation Non Gouvernementales (ONG) « peu soucieuses de l’intérêt de l’Etat ». Plus loin encore, ce rapport de plus de 400 pages, ne reflète « guère » la réalité de l’utilisation des TIC en Algérie. M. Benhamadi estime, dans ce cadre, que « le fait de comparer l’Algérie aux autres pays africains et arabes », n’est pas « réaliste », car chaque pays a ses caractéristiques. Essayant d’illustrer, le ministre de la Poste et des TIC, dira qu’en Algérie, par exemple, le développement de ce secteur se fait sous la supervision du chef de l’Etat et du gouvernement.
Néanmoins, M. Benhamadi a admis récemment et à maintes reprises, que l’Algérie est en retard par rapport à ses capacités, ses ambitions et à la volonté politique de généraliser l’utilisation des TIC dans l’ensemble des secteurs et pour l’ensemble des citoyens. Ne s’agit-il pas ici de contradiction du premier responsable du secteur des TIC ?