Les chefs d’accusation incluent détournement de fonds publics, blanchiment d’argent, exploitation d’influence et conflit d’intérêts. Des peines allant jusqu’à 12 ans de prison ferme ont déjà été prononcées en février dernier par le tribunal économique de Sidi M’hamed. Un mandat d’arrêt international vise notamment le dirigeant du consortium étranger impliqué.
L’affaire met en lumière les enjeux de transparence et de responsabilité dans les entreprises publiques, alors que l’Algérie s’efforce de renforcer sa lutte contre la corruption.