La plateforme a hébergé 1 500 stands virtuels, contre 4 500 environ lors des éditions classiques à Las Vegas. Quelques responsables d’entreprises participantes se plaignent du ‘’manque d’interactions et d’opportunités’’. Certains d’entre eux n’ont signé aucun contrat lors de cette édition. D’autres entrepreneurs ont regretté le contact physique qui a manqué lors de cette édition ‘’virtuelle’’. Un contact indispensable parfois parce qu’il permet de ‘’créer un lien avec les visiteurs et de comprendre plus vite leurs besoins’’.
Par ailleurs, d’autres participants déplorent de nombreux problèmes techniques sur la plateforme et un ‘’support client très peu réactif qui ne répondait pas à la plupart des demandes’’. « Nous étions dans l’obligation de pousser les demandes plusieurs fois avant qu’elles aboutissent », regrette un dirigeant qui participe au CES pour la première fois. Plus loin encore, il qualifie l’organisation côté CES de ‘’chaotique’’.
Une autre partie de participants voient le bon côté des choses. Ils estiment que « le format en ligne a été bénéfique dans le sens où ils avaient bénéficié d’une bonne visibilité ».