Animant une conférence en marge du Salon international du futur technologique (SIFTECH), ouvert lundi à Oran, M. Derradj a souligné que l’application de la mesure du bracelet électronique est « un pas dans la modernisation » du secteur de la justice et un mécanisme de contrôle utilisé dans de nombreux pays.
Ce mécanisme entre dans le cadre du contrôle et constitue une mesure en faveur des libertés individuelles contribuant à la réinsertion sociale des détenus.
M. Derradj a également indiqué que les procédures techniques ont été complètement réalisées et cette technique sera bientôt lancée, ajoutant que le bracelet sera fabriqué à l’étranger, alors que des experts algériens se chargeront de la base de données et des techniques de son fonctionnement. (APS)