« Le gouvernement algérien n’a jamais eu l’intention d’interdire les réseaux sociaux, car l’Algérie est un pays démocratique », a indiqué Mme Faraoun qui présentait un exposé sur son secteur devant la Commission des finances et du budget de l’Assemblée populaire nationale (APN) dans le cadre de la loi sur le règlement budgétaire de 2013.
Interrogé sur le fait que ces réseaux sociaux engrangent des milliards de dollars sans contrepartie pour l’Algérie, elle a expliqué que Facebook, Viber ou Skype vivent de la publicité, appelant les jeunes algériens à faire de même en créant des réseaux sociaux locaux.
« La seule solution pour contrer ce type de réseaux est d’investir sur le patriotisme des jeunes algériens et leur dire de créer un forum national ou un Facebook algérien », a-t-elle ajouté.