Le premier responsable de France Télécom compte profiter de la privatisation des réseaux de téléphonie mobile pour s’engager dans ces pays. Le quotidien Allemand rapporte tout de même que France Télécom n’envisage pas une fusion mais privilégie plutôt une « coopération avec d’autres acteurs établis ».
« Nous allons très probablement participer à la privatisation prévue d’opérateurs de télécoms au Viêtnam et en Algérie. J’envisage d’avantage une coopération avec d’autres acteurs établis qu’une fusion », dira M.Didier Lombard.