Lors de l’inauguration de cet évènement, le secrétaire général du ministère de la Poste et des technologies de l’information et de la communication (MPTIC), Mohammed Bayit a notamment déclaré : « Le SICOM, de par ses organisateurs est un phénomène social réservé aux professionnels, ainsi qu’au large public. Nous avons toujours suivi avec grand intérêt ses dernières innovations. Cette année, il est orienté vers l’entreprise et son adoption des TIC ». M. Bayit a estimé que le Salon permet au citoyen de découvrir les dernières innovations en matière d’informatique, bureautique et plus généralement les TIC. Il permet également, poursuit-il, de nouveaux partenariats entre les différents participants.
Cette 22ème édition sera l’occasion de marquer le rôle et la nécessité des TIC dans le développement de l’entreprise pour favoriser l’innovation et la création de communautés professionnelles en TIC, affirment les organisateurs. Cette manifestation est une véritable plate-forme d’acteurs de la bureautique et de l’informatique, qui s’est transformé en un grand espace où toute la communauté TIC se retrouve pour élargir les partenariats, promouvoir les affaires, rencontrer de nouveaux prospects, et développer tout simplement son réseau d’affaire.
Pour l’édition de 2013, quelque 165 exposants de 10 nationalités prennent part au salon qui se poursuivra jusqu’au 27 avril et où plus de 50 grandes marques sont représentées. On notera, à titre d’exemple, la France, Taiwan, la Chine, la Turquie, et les Emirats-Arabes. Le SICOM se distingue cette année par deux pavillons, un réservé aux exposants professionnels au nombre de 123, l’autre est destiné à la vente. Ainsi, la nouvelle édition du salon a connu de nouveaux exposants, qui sont soit distributeurs de grandes marques en bureautique et informatique, soit éditeurs de logiciels, hormis les distributeurs de matériels ou d’équipements informatiques habitués du salon.
Par ailleurs, cette édition organisera 28 ateliers, dont 03 pour l’emploi, et 05 conférences sur les thèmes, e-Algérie, la Cybercriminalité, la télévision numérique et l’ouverture du champ médiatique.
